Conférence : Mon équipe ne voit pas le problème

Gregory

Conférence : Mon équipe ne voit pas le problème

Le 4 juin 2021, je donnais ma conférence « Mon équipe ne voit pas le problème » où je présentais ces situations dans lesquelles nous voyons un dysfonctionnement s’opérer devant nous (un bug client qui reste incorrigé longtemps, une équipe qui communique mal pendant les réunions, une équipe qui saute ses rétrospectives…). On observe donc ce dysfonctionnement, on en parle à l’équipe et la réponse obtenue ne nous convient pas (l’équipe minimise, elle esquive, elle se justifie…).

On retente alors de leur montrer le problème, de les convaincre, leur faire prendre conscience mais rien n’y fait.

L’objectif de cette présentation est de montrer les dynamiques en actions, les raisons potentielles qui nous font en arriver à ces situations sans issues.

Retrouvez ici le support de la conférence

Support – Mon équipe ne voit pas le problème

 

Je tiens à remercier chaleureusement Sylvie Mallet (linkedin) pour son aide aux prémices de la conférence. Son feedback m’a beaucoup aidé à clarifier mes propos sur la partie « systémique Palto Alto » de la conférence.

Un grand merci à Timothée Chevrier (linkedin) et Agile Renne pour leur invitation à donner cette conférence pour la première fois.

Un grand merci à Florence RUTSCHI (linkedin), Olivia HUE (linkedin) et Rémi SARRAILLON (linkedin) pour leurs superbes sketchnotes !

Et évidemment un grand grand merci à Agile Lyon d’avoir accepté cette conférence et globalement pour la qualité de cette conférence exceptionnelle en mode hybride

Comments (5)

  1. Qui es ton client ici ? L’équipe ? (le piège est derrière le mot « client »).

    1. Je ne sais pas si c’est une vrai question ou une confirmation.

      Si c’est une question, effectivement dans mon propos à priori le client n’est pas l’équipe mais soi-même.

      La question : qui a mal ? qui se plaint ?

      1. Ce que je voulais te faire dire, c’est que le client est celui qui te fait venir et paie ta prestation (généralement)
        S’il te fait venir, c’est que la situation ne lui va pas, et tu viens car ce qui ne lui va pas est en ligne avec tes convictions.
        Pour l’équipe « tout va bien » … il est peut-être temps de confronter cette perception avec celle du client qui t’a fait venir (probablement leur management)
        Si tout va effectivement bien pour les deux, tu n’as plus qu’a te trouver d’autres dragons à pourfendre ou un autre client. On ne peut pas obliger un client à penser que ça va mal, si de son point de vue c’est OK. C’est une croisade perdue.

        1. Je suis un vilain garnement, je ne dis pas souvent ce qu’on essaie de me faire dire 😉

          Je suis d’accord avec toi dans la mesure où on est prestataire avec la capacité de challenger son client et un bon niveau de liberté dans sa mission (ce qui, soyons honnête avec le marché n’est pas toujours aussi évident). Ca devrait naturellement l’être mais hein, la nature des entreprises est surprenante.

          Après il reste les personnes qui sont internes qui ne peuvent pas juste démissionner si tout va bien, ceux qui sont prestataires et qu’on missionne pour « améliorer les choses » (« débrouille toi c’est ton job »), les personnes qui se sentent investies, les personnes qui n’ont pas envie d’escalader au management de peur que ça impact leur relation avec les équipes…

          Donc je suis d’accord dans tout ce que tu dis mais c’est souvent plus facile à dire qu’à faire.

  2. […] J’aurais pu rependre le lunemarchage de Grégory, mais il en parle mieux que moi.   […]